En 2002, la société AC Environnement voit le jour en région Roannaise. Ce que nous sommes aujourd'hui, nous le devons à ce que nous avons réalisé et développé au fil des années, à cet esprit de conquête qui nous anime au quotidien, au lien qui unit l'ensemble de nos collaborateurs répartis sur tout le territoire, à notre identité et nos valeurs.

Cette année nous avons interviewé plusieurs collaborateurs pour qu'ils partagent cette belle histoire. Nous terminons cette série d'interview avec Nicolas DUMAS, directeur de région.

Article du 21 décembre 2022

Les débuts d'AC Environnement

Bonjour Nicolas, 

Le groupe AC Environnement a fêté ses 20 ans cette année. Vous faites partie de l’aventure depuis le début, racontez-nous comment tout a commencé !
J’ai rencontré Denis Mora en 2001 sur le salon de l’immobilier de Roanne.

Je faisais un BTS en alternance et une fois celui-ci terminé, j’ai repris contact avec lui. Il m’a alors proposé un poste de technicien en diagnostic immobilier. J’ai dit « oui » tout de suite et ce fut le début de mon aventure AC Environnement !

Grandir avec AC Environnement

Pourriez-vous nous parler de votre parcours chez AC Environnement ? 


Nicolas DUMAS réalisant un diagnostic électricité lorsqu'il était technicien.

Au regard de la croissance du Groupe, il fut vite nécessaire de s’organiser et de créer des agences. Denis, qui a souhaité s’appuyer sur les forces vives en présence, m’a confié la direction de l’agence de Roanne devenue depuis l’agence Loire. C’était en 2005, 4 ans après mon arrivée dans le Groupe. 
Ensuite, j’ai évolué vers la cellule Marchés Publics. Avec l’équipe, nous répondions aux appels d’offre, faisions les chiffrages et les mémoires techniques. Et comme nous étions encore une petite start-up, j’avais aussi la responsabilité de l’intégration et de la formation des nouveaux collaborateurs. 
A compter de 2013, j’ai pris en charge les grands comptes nationaux et suis devenu directeur de la région Centre avec les agences de Roanne et du Puy-de-Dôme. Les agences de la Loire, du Rhône, de l’Ain, de la Savoie et de l’Isère se sont ensuite greffées. Et aujourd’hui, en tant que Directeur France Est, mon secteur s’étend sur toute cette partie de la France avec une douzaine d’agences.    
Avec le recul, je suis content d’avoir su saisir l’opportunité qui m’a été offerte. J’ai énormément travaillé pour faire mes preuves et toujours progresser. La confiance que l’on m’a accordée m’a aussi beaucoup aidé dans mon parcours.

Ce qui me rend fier, c’est la réussite globale du Groupe à laquelle nous avons tous contribué !

Quel est le projet qui vous a rendu le plus fier ? 

Il n’y a pas un projet en particulier. Ce qui me rend fier, c’est la réussite globale du Groupe à laquelle nous avons tous contribué !

Entre agences, nous avions l’habitude de nous challenger. Nous voulions tous être les meilleurs en termes de chiffre d’affaires. Il y avait une certaine compétition et nous nous retrouvions régulièrement en plénière pour regarder et comparer nos résultats. C’était motivant et toujours fait dans la bonne humeur et avec bienveillance. 
En 2006, lorsque nous avons signé le premier marché public à Paris, nous avons compris qu’un virage s’opérait. L’avenir du Groupe était là,   en complément des diagnostics immobiliers qui restaient notre socle d’expertise… Et nous avons actuellement près de 40% de retours positifs sur nos appels d’offres. C’est le fruit de notre engagement et de notre volonté de réussir. 
Mais je crois qu’en tant que directeur de région, ma fierté est avant tout « humaine ». Pouvoir faire monter en compétence et accompagner les collaborateurs afin d’obtenir une véritable réussite collective, c’est le plus intéressant, valorisant et satisfaisant !

Qu’avez-vous appris durant toutes ces années ? 

Tant de choses ! J’ai appris toutes les connaissances techniques nécessaires à la réalisation d’un diagnostic immobilier, et aussi à manager, à gérer une entreprise et à accompagner des femmes et des hommes vers leur épanouissement professionnel. Cela passe notamment par la bienveillance, l’écoute et l’intégrité. 
Et j’ai bien envie de croire que j’ai encore des choses à apprendre. Notre Groupe évolue sans cesse et nous relevons tous les jours de nouveaux challenges, de nouvelles possibilités d’évolution. C’est stimulant !

Quel est votre meilleur souvenir ?     

Je garde du séminaire en Corse un souvenir ému. Il est l’illustration parfaite de la réussite collective avec un engagement fort de chacun d’entre nous. La direction d’AC Environnement a su s’appuyer sur des femmes et des hommes de valeur qui au fil des années nous ont rejoints et ont conjugué leurs talents pour un résultat solide. 

 

Et pour la suite ?

Comment imaginez-vous l’avenir d’AC Environnement ? 

Nous venons de vivre une période de changements due à l’évolution du Groupe et la nécessité de devoir nous adapter à de nouvelles contraintes internes, juridiques et règlementaires. 
Cela a eu pour conséquence de nous amener à ajuster notre offre, notamment autour de la formation professionnelle, et à envisager différemment l’accompagnement et la montée en compétences de nos collaborateurs. La difficulté réside dans le calendrier car cela demande du temps pour y réfléchir et prendre les meilleures options. Parallèlement, nous nous adaptons aux changements de demandes de nos clients. Tout ceci reste positif et encourageant pour l’avenir. Nous avons la ressource et l’agilité pour nous adapter et trouver des solutions.

Aujourd’hui, de nouvelles lignes directrices ont été fixées. AC Environnement a des objectifs ambitieux mais raisonnés pour 2023 et l’entreprise peut s’appuyer sur des équipes en place et toujours motivées. Nous sommes leaders et il faut que les collaborateurs en aient conscience !     
Côté région, nous avons aussi de belles réussites et continuons à recruter. Nos collaborateurs en place en profitent pour monter en compétences et peuvent s’ils le souhaitent bénéficier de notre politique de mobilité interne. 
Il y a de beaux challenges qui s’annoncent, et c’est motivant ! 

Et si c’était à refaire ? 

Je referais pareil évidemment… 


Nicolas DUMAS,
directeur de région chez AC Environnement

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